lut spike, he bien tu nous l'avais cachée cette réunion de parents d'élèves (j'imagine ta tête) tu as du être l'homme de la situation, dans tout les sens du terme d'ailleurs.
pour en revenir au problème, càd l'éternel fossé culturel, je pense sans me tromper que la grande majorité d'entre nous ne sommes pas parents.
pour ceux qui désirent avoir des enfants (tous les gouts sont dans la nature), le problème viendra du fait que nous pensons au jour d'aujourd'hui et qu'une évolution de mentalité est un processus psychologique qui arrive très rarement dans la vie, comme je dis avec alex, on est has-been ne serait ce que dans l'evolution des rapports amoureux par rapport aux jeunes de 20 ans.
même si on peut accepter ces comportements, les comprendre est autrement plus délicat étant donné que l'on ne pense pas de la même manière. pour en revenir au sujet, la génération 68 a ses propres idéaux et codes de pensée, beaucoup les ont oubliés, certains ne veulent pas que leurs enfants reproduisent les mêmes conneries qu'à leur age. Neanmoins, il est obligatoire d'en faire quelques unes, ne serait ce que pour évoluer et améliorer son schéma de pensée.
En effet, la meilleure manière d'arreter de faire des conneries, c'est d'en avoir fait et , de facto, comprendre d'autant mieux l'absurdité de certaines.
je ne dis pas qu'il faut tout essayer comme disent certains, mais tenter de discipliner son enfant part certainement d'une très bonne intention mais risque d'engendrer ce type de blocages.
c'est en essayant la drogue que l'on comprend la nécessité d'arreter et de ne plus y toucher par la suite, mais ca ne sert pratiquement à rien d'être donneur de leçons à ce sujet, puisque chaque personne réagira diffèremment à une situation donnée.
Le mieux est peut-être de tenter de donner une éducation informée et objective, faut pas tout permettre non plus, mais bon les enfants de toute manière, ados pour etre plus précis, n'imaginent pas que leurs parents l'aient étés un jour et ont fait des trucs qu'il n'imaginent pas.
C'est un large débat, je pourrais en parler des heures durant, mais laissons la parole à d'autres