C'est vrai que c pas très délire qu'on ait enchaîné avec le boulot, hum, mais permets-moi de répondre vite fait à la question posée ^^ :
Le plus pénible...mm... ce sont les discours qui viennent d'en-haut pour te dire quelle est ta mission et ce que tu dois faire pour relever le niveau de la jeunesse, ces discours qui, selon les périodes de gouvernance, sont contradictoires. Les circulaires, les programmes, l'aspect, disons, politique de ce métier, ça c ce qui est pénible. Après, selon les bahuts où on se trouve, y a les parents, le père truc la mère machin, qui sont de toutes les CA, de toutes les administrations et qui sont potes avec tel élu, et puis y a des cas où les parents sont juste contents de pas voir leurs mômes quelques heures par jour. Mais là ce sont les extrêmes, dans l'ensemble (en tout cas moi) y a pas trop de malaise avec les parents. A part ça ben y a bien sûr, toujours selon les coins où on est, des classes qui te pourrissent la vie du matin au soir, mais là aussi, chacun a son seuil de tolérance, sa résistance etc. Oh là ça a l'air bien triste tout ça, mais en fait (pour l'instant du moins) je m'éclate, et puis le moment où le jeune soudain dit "ah ouais j'ai compris !", c un moment magnifique, tu vois à sa tête que ça y est, il a appris quelque chose, ptèt que ça va lui servir plus tard, ptèt pas, mais là, il est content d'avoir pu trouver quelque chose, le manipuler avec sa tête, et bref il a progressé, même un peu, même petitement, mais il se développe, il s'ouvre un peu plus, et, sans fausse modestie, quand c grâce à ce que tu lui as apporté, ça fait beaucoup de bien au moral.
Et maintenant, par exemple, au hasard, parlons bogoss... ^__^